Avant que la vente de diamant ne s’effectue entre un particulier et un professionnel, des vérifications importantes sont faites sur le joyau. Quand il est question de diamant, on parle de beaucoup d’argent, d’où la nécessité de procéder à des contrôles. Voici l’essentiel sur quoi porte ces contrôles.
Plan de l'article
Le certificat du diamant
La vente d’un diamant d’un particulier à un professionnel s’accompagne normalement d’un certificat. Le certificat est ce qui va décrire la pierre de façon détaillée et attester aussi de son authenticité. Elles sont établies par des structures dédiées dont l’une des plus courantes est le GIA. Un certificat peut être truqué. Alors si vous êtes acheteur, prenez le soin de vérifier sa date d’émission et de tester votre certificat GIA.
A lire en complément : Les étapes de la création d'une SCI
Le poids et la taille du joyau
C’est le poids qui va juger de la valeur financière du diamant GIA. Le poids d’un diamant est en carat. Un carat représente 0.20 grammes. Aussi, plus la pierre sera bien taillée, plus elle gagnera en valeur.
La couleur du diamant
La couleur est soumise à une évaluation minutieuse par le professionnel : L’évaluation sur nuancier. La teinte jaune traduit un diamant ayant moins de valeur. Le vert, le rouge et le bleu sont les plus appréciés. Toutes les teintes sont graduées sur une échelle allant de la lettre D à Z.
A lire également : Comment choisir votre société de goudronnage ?
La pureté du diamant
Le professionnel juge un diamant de pur grâce à sa loupe ou un autre matériel. Il qualifie cette pierre de « pur à la loupe » si elle est et vous pouvez passer à la vente. Au cas contraire, il la traitera de « piqué » et c’est moins sûr qu’elle sera échangeable.